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 Une mignonette de nouveau né dénomée Lilyth

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AuteurMessage
Lilyth
Mignon petit cerbère
Lilyth

Messages : 28
Date d'inscription : 10/01/2012
Compte principal : Lilyth

Essences vitales
Âge: 19
Rôle: seconde du Prince d'Asie

Une mignonette de nouveau né dénomée Lilyth Empty
MessageSujet: Une mignonette de nouveau né dénomée Lilyth   Une mignonette de nouveau né dénomée Lilyth EmptyDim 19 Fév - 14:45

Nom : De Valrose
Prénom : Lilyth
Surnom(s) : Quelques fois appelée Lily, mais le plus souvent par son prénom d’origine déjà bien assez court comme ça !
Âge :
- apparent : une vingtaine d’années
- réel : son âge s’est figé il y a peu à 19 ans
Sexe : Femme
Race : Vampire
Rang, emploi ou fonction : Seconde d’un prince
Opinions politiques : Ne connaît rien, si ce n'est Asling
Blason, couleurs, emblème : une bague

Physique :

Les plus grands peintres, lorsque, poursuivant dans le ciel la beauté idéale, ont rapporté sur la terre le divin portrait de la Madone, n'approchent même pas de cette fabuleuse réalité. Ni les vers du poète, ni la palette du peintre n'en peuvent donner une idée.
C’est une jeune femme d’une beauté rare, une révélation angélique, qui semble éclairée d’elle-même. Charmante créature, vêtue avec une magnificence royale, de loin elle est une forme svelte et blanche.

Elle est assez grande, avec une taille et un port de déesse. Quand les doux rayons du soleil se posent délicatement sur ses cheveux, ceux-ci passent d'un châtain clair à un blond d’or. Ils se séparent sur le haut de sa tête et coulent sur ses tempes comme des flammes dansantes lors d'un feu de joie. Son front, d'une blancheur bleuâtre et transparente, s'étend large et serein sur les arcs de deux cils presque bruns, singularité qui ajoute encore à l'effet de ses prunelles fleur de lys d'une vivacité et d'un éclat insoutenables.

Son visage est blanc comme le marbre, autant qu’on dirait la silhouette séduisante de son corps une statue d’alabastre ou une jeune dormeuse, sur laquelle est tombée la neige.
Elle est séduisante comme alors et la mort semble adjoindre une coquetterie supplémentaire… coquetterie spontanée…

Maintenant, enlevez-lui ses yeux pleins d’insouciance et de tendresse et remplacez-les par deux grands iris profonds comme les abîmes qui se dégradent du topaze au noir.
Dépeignez-vous un regard mûr et brillant comme celui de quelqu’un qui aurait vécu une catastrophe récemment, deux pupilles qui paraissent fatiguées mais qui ne sont en réalité que le reflet d’une soif de sang et de souffrance jamais épanchée.

C’est Lilyth, bien que peu de personne la sâche comme cela étant donné son changement soudain de statut.

Psychologie :

Lilyth est une jeune femme dont la vie est bouleversée du tout au tout.

Au premier abord, c’est une femme d’une simplicité extrême, charmante, avec un léger sourire formant deux petites fossettes au coin de ses lèvres, faisant chavirer les cœurs pour peu qu’ils battent encore. Elle est assez réservée, non pas timide mais plutôt discrète, ne se faisant pas remarquer si elle ne le désire pas.

De bonne famille, elle a appris l’art de la discussion. Elle peut vous faire avouer jusqu’au pire des secrets enfouis sans pour autant que vous vous en rendiez compte et avec le sourire. Elle sait également manier l’art de la séduction à la perfection. Avec plus d’un talent en poche, elle est habituée à arriver à ses fins. Sa volonté est sans égale.

Il est rare qu’elle mente, mais il est fréquent qu’elle ne dise pas tout. Omettre quelques détails d'une discussion est parfois mille fois plus efficace que de mentir.

Par contre, lorsqu’elle se met en colère, et il ne vaut mieux pas, c’est comme si l’on se retrouvait aux portes de l’Enfer accueillis par le Diable en personne.

Arme(s) : Aucune, sauf peut être une dague dont elle se sert peu

Signe particulier : N’en a pas vraiment.

Ce que vous avez sur vous : Lilyth a pour habitude d’être bien vêtue. Elle affectionne particulièrement les robes en velours, satin brodé et mousseline de soie, avec un décolleté la mettant en valeur (les robes où on respire plus dedans quoi…). Elle porte à l’annulaire une bague ancienne dont l’histoire est et restera floue.

Ce que vous savez des autres personnages : Bien peu de chose hélas… Elle connaît la cité de ses « nouveaux » pairs, Vasteval. Elle a une certaine convenance à rester parmi les humains, à errer de ci de là.

Histoire :

Lilyth descend d’une famille noble anglo-saxonne, plutôt aisée et relativement importante, pour les humains, mais quelle importance maintenant...

Ses parents ont essayé de la préserver des histoires circulant à propos d’une épidémie pour le moins mystérieuse.

Le bruit court que des êtres maléfiques rôdent la nuit parmi nous. Ces êtres, des morts assoiffés de sang, auraient surgis de leur tombe. Il n’est pourtant pas facile de croire que cela soit le cas et qu’ils errent en semant la terreur et la destruction parmi les vivants. Et pourtant Lilyth en sera témoin.

L’origine

Un hiver, lors d’un de mes voyages en Irlande, accompagnée de ma famille, quelques années auparavant, je rencontre Asling.

Un homme charmant, plein de richesse, un homme sage. Ses traits tirés, des cheveux poivre et sel plus ou moins grisonnant même, un semblant de barbe, la cinquantaine peut être plus, peut être moins…
Il avait une longue, très longue cicatrice sur le côté gauche du visage, cela je m’en souviens bien et m’en souviendrai toujours. Cet homme était à la fois mystérieux et effrayant, du moins c’est comme cela que je le ressentais. Quelque chose en lui m’attirait, affolait tous mes sens. Qu’était-ce ? Le découvrirai-je un jour ?
Plein de questions à son propos, mais qu’importe.
Sa rencontre fut gratifiante et agréable. Nous avons parlé de tout un tas de chose, tellement que je ne me souviens pas de tout.
Il me dit habiter plus au sud, au-delà du continent, mais il reste très vague sur l’endroit exact.
Je prenais un malin plaisir à venir le voir pour parler, encore et encore. Ma curiosité sur le monde et les choses y référant était vaste et sa connaissance la contentait peu à peu.

A chacun de mes voyages brefs en Irlande, sur presque une année, j’accourais à ce lieu, vers les mêmes heures, et presque à chaque fois, je le voyais et nous discutions de tout et n’importe quoi.

Malheureusement, il fut un soir où nous devions quitter l’Irlande pour retourner en Angleterre. Mère et Père n’était guère joyeux de me voir en une telle compagnie à chacun de nos voyage là bas, que cela les enchantait de rejoindre le domaine bien plus tôt que prévu.

C’était également un hiver lorsque cela m’est arrivé. Lui aussi devait partir. Chacun allait reprendre le court de sa vie. Une dernière soirée donc en compagnie de ce vieil homme. D’ailleurs, en y repensant, cela me paraissait étrange de ne le voir qu’à la nuit tombée … Une soirée fort sympathique puis des salutations. Rien qu’un simple voyage comme les autres. Et pourtant …

La fin de cette existence …

Cette nuit là, la voiture allait à une vitesse convenable pour rejoindre le port, quand soudain les chevaux s’emballèrent et se stoppèrent.

Je me souviens très bien de ce moment…

Le cocher émit un cri perçant à vous glacé le sang, s’en suivirent des râles, des hurlements et toute sorte de bruits plus effrayants les uns que les autres. Père était sorti en premier de la voiture. Nous l’entendions quelques secondes plus tard crier à son tour, jusqu’à ce que sa voix s’étouffe et qu’on ne l’entende plus. Mère m’agrippa. Je tremblais de tout mon corps, j’avais envie de crier aussi mais aucun son ne voulait sortir de ma bouche. La porte de Mère s’ouvrit à la volée, que dis-je, elle fut arrachée de ses gonds, propulsée pour retomber plus loin sur le sol glacial.

Un bras pénétra à l’intérieur de l’habitacle et une main ferme se saisit de Mère. Je l’entendais pleurer, demander grâce, supplier de me laisser saine et sauve. Je me recroquevillais sur moi-même. Allais-je avoir droit au même supplice. Mon esprit était en ébullition. Au lieu de demander grâce, je prierai pour que ce qui devait être fait soit fait, rapide et sans douleur.

Le bras, celui là même qui avait tiré Mère hors de la voiture, m’agrippa et me tira à l’extérieur. Là je vis gésir dans une gigantesque marre de sang le cocher et mes propres parents. Ma mère battait encore des paupières. Le sang giclait de sa gorge déchiquetée à mesure qu’elle essayait de me dire quelque chose, en vain. Des larmes perlaient le long de sa joue qui ne touchait pas terre. Puis dans un dernier soupire à peine audible, elle s’éteint comme les deux autres.

L’homme qui s’était adonné avec délectation à des actes de sauvagerie sadique passa sa main autour de mon cou et serra sa prise, si bien que l’air ne pénétrait plus dans mes poumons. Cette sensation … Rien que de m’en souvenir, j’en ai encore des frissons…

De son autre main, il me tira les cheveux de sorte à ce que je penche la tête sur le côté. Il approcha son visage du mien avec un sourire diabolique.

Il se trouvait si près du mien qu’il pu et qu’il s’amusait à humer mon odeur. Je me rappelle le contact de ses lèvres sur ma peau velours. Je me rappelle la douleur vive lorsque, de ses crocs, il perça deux petits trous dans le creux de ma nuque.

En faisant abstraction au fait que je me faisais pomper le sang à chaque pulsation qui courrait dans mes veines, l’homme en question avait un physique pour le moins intrigant. Il était jeune et beau, d’une extraordinaire beauté. Et ses yeux … ses yeux reflétaient une lumière surnaturelle alors qu’il faisait nuit noire. Ses pupilles semblaient agitées et changeaient constamment de couleur. Ses mains… Elles étaient d’un froid… Non pas celui dû à la saison, mais un froid relevant de la morbidité d’un cadavre. De temps à autre, il relâchait prise pour que je puisse reprendre mon souffle et il en profitait pour déposer quelques baisers sur les plaies pour mieux recommencer. Sur cette hésitation entre baiser et morsure, nous pouvions sentir le choix entre l'érotisme et la sustentation, il choisissait de mordre pour assouvir sa soif. La douleur se faisait de moins en moins vive, jusqu’à ne plus rien sentir quand il plantait encore et encore ses crocs. Lorsqu’il releva enfin la tête, son sourire diabolique se transforma. Il me regardait, extasié et repu.

Etait-ce cela, cette épidémie ?

Ce qui suivit après, cela reste confus.

Je me souviens vaguement d’un goût ferreux dans la bouche puis d’avoir perdu connaissance en pensant que je ne me réveillerais plus, jamais…

… Le commencement de la nouvelle

Son réveil se fit quelques jours plus tard sans doute, dans une cité dont elle ignorait tout, enfermée dans une pièce avec juste une porte.

Une douleur dans la nuque, courbaturée de partout, le regard trouble, une odeur venant lui piquer les narines, le brouhaha incessant provenant de l’extérieur, la bouche pâteuse. Elle était seule sans aucun repère.

Que s'est-il passé ? ...


Dernière édition par Lilyth le Dim 19 Fév - 14:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une mignonette de nouveau né dénomée Lilyth   Une mignonette de nouveau né dénomée Lilyth EmptyDim 19 Fév - 14:51

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Ce monde n'est pas fait pour les enfants perdus. Méfie-toi, car tu pourrais y finir broyée.
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